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28 éléments trouvés pour «  »

  • Archive octobre 2022 | AssoSciences

    Science ouverte : qu'est-ce que c'est et où en est-on ? Anne CAMBON-THOMSEN Directrice de recherche émérite au CNRS, au CERPOP, (Centre d'épidémiologie et de recherche en santé des populations), UMR 1295, Inserm, Université de Toulouse, Université Toulouse III - Paul Sabatier Fondatrice de la plateforme sociétale genotoul et Ambassadrice de l'Alliance pour les données de la recherche (RDA, Research data alliance) conférence mercredi 19 octobre 2022 19h00 Sa lle du Sénéchal 17 rue de Rémusat 31000 Toulouse On définit la science ouverte comme la diffusion sans entrave des résultats, des méthodes et des produits de la recherche scientifique, comme le rappelle le Ministère de l’enseignement supérieur de la recherche et de l’innovation. La France a depuis 2018 un plan national pour sa mise en œuvre (1) et l’UNESCO a en 2021 publié une recommandation dans ce domaine (2). « La science ouverte s'appuie sur l'opportunité que représente la mutation numérique pour développer l'accès ouvert aux publications et aux données, aux codes sources et aux méthodes de la recherche… Elle construit un écosystème dans lequel la science est plus transparente, plus solidement étayée et reproductible, plus efficace et cumulative. Elle induit une démocratisation de l'accès aux savoirs, utile à l'enseignement, à la formation, à l'économie, aux politiques publiques, aux citoyens et à la société dans son ensemble. Elle constitue enfin un levier pour l'intégrité scientifique et favorise la confiance des citoyens dans la science. » (1). Des initiatives locales se développent en ce sens. C’est aussi une des priorités de la Commission européenne (3) et de larges consortia européens (4) et internationaux en font le cœur de leurs activités comme c’est par exemple le cas de l’Allliance pour les données de la recherche (5). C’est donc un domaine essentiel pour la diffusion des connaissances et des résultats de la recherche, non seulement entre scientifiques, mais aussi vis-à-vis du public, ce qui est au cœur des missions de notre association « AssoSciences ». Cette conférence présentera un historique des grandes étapes de la science ouverte, ses enjeux, ses écueils, ses différentes facettes et certains de ses outils, au travers d’exemples. Ref : Plan national pour la science ouverte, https://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/fr/le-plan-national-pour-la-science-ouverte-2021-2024-vers-une-generalisation-de-la-science-ouverte-en-48525 Recommandation de l’UNESCO sur une science ouverte, 2021 https://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000379949_fre https://research-and-innovation.ec.europa.eu/strategy/strategy-2020-2024/our-digital-future/open-science_en https://eosc.eu/ https://www.rd-alliance.org/

  • Archive janvier 2023 | AssoSciences

    « Données Personnelles de Santé : Du risque de prise en otage informatique à la mise en circulation des données pour la médecine de précision » Pierre-Antoine Gourraud Professeur des Universités & Praticien-Hospitalier of the School of Medicine of the Nantes University in France, formerly at UCSF conférence jeudi 19 janvier 2023 19h00 Salle du Sénéchal 17 rue de Rémusat 31000 Toulouse ​ Les données de santé sont parmi les données personnelles les plus sensibles. Nos moyens techniques modernes démultiplient les possibilités d’échanges pour le soin et pour tout autre application qui nous permettent peut-être d’imaginer le futur de la médecine. Parallèlement, le déploiement des entrepôts de données de santé et celui de la plateforme française des données de santé, le « Health Data Hub » pose des questions inédites, notamment des questions de souveraineté opérationnelle et technologique. La possible création d’un espace européen des données de santé en posera d’autres. Ces données personnelles de santé sont souvent maladroitement assimilées à des biens matériels et leur valeur à celle de transactions de nature commerciale. Pourtant, les données de santé sont a minima le fruit d’une coproduction entre patients, soignants et "data scientists", il nous faut sans doute nous inspirer des objets culturels, en musique ou cinéma, pour mieux penser la création de valeur dans les données.

  • Archives Vidéos Conférences | AssoSciences

    Archives Conférences Vidéos Jlmeb 21 novembre 2023 Florian Laguens 1919 Einstein Superstar Lire la vidéo Connexion Rechercher une vidéo... Toutes les catégories Toutes les catégories Educational Events Instructionals People & Blogs Reporting & Journalism Science & Tech Science & Technology Sciences Talks 21 novembre 2023 Florian Laguens 1919 Einstein Superstar Lire la vidéo 21 mars 2024 Clément Sire Quand des pauvres petits poissons sont confrontés à l’IA Lire la vidéo 5 février 2019 Benoît Cottereau CNRS Toulouse Les mathématiques au secours des neurosciences Lire la vidéo 15 décembre 2016 Bernard Castaing Turbulence Superfluide Lire la vidéo 13 juin 2023 Serge Morand Après la pandémie de covid 19 Biodiversité et une seule santé Lire la vidéo 15 décembre 2016 Bernard Castaing Turbulence Superfluide Lire la vidéo 13 décembre 2018 Philippe Brunet L'espace : une success-story pour l'Europe Lire la vidéo 13 Avril 2023 Docteur Aurore Avarguès-Weber Intelligence des Abeilles Révolution et Perspectives Lire la vidéo 12 septembre 2017 Daniel Heuer Réacteur nucléaire à combustible liquide le MSFR.mp4 Lire la vidéo 12 mai 2016 Gérard Berry La Pensée algorithmique (et sa révolution des sciences) Lire la vidéo 5 mars 2019 Gérard Berry Où va l'informatique ? Lire la vidéo 23 novembre 2016 Jean Pierre Dupuy Le Sacré est de retour, mais comme simulacre Lire la vidéo Hervé Le Bras 25 février 2016 Anatomie sociale de la France Lire la vidéo 8 avril 2016 Francis Eustache Comment les troubles de la mémoire nous font mieux comprendre la ... Lire la vidéo 21 mars 2017 Philippe Souères La Robotique humaine au LAAS-CNRS Lire la vidéo 30 mars 2017 Bernard Meunier Le bon sens, en sciences ou ailleurs Lire la vidéo 4 décembre 2017 Pierre Monsan Valoriser la recherche l'exemple de TWB Lire la vidéo 6 juin 2017 Valéry Masson Coup de chaud sur la ville Lire la vidéo 6 juin 2017 Valéry Masson Coup de chaud sur la ville Lire la vidéo Jean-Sébastien Vaquer 20 novembre 2017 L'invention et la diffusion préhistorique de la métall... Lire la vidéo 9 novembre 2017 Pere Puigdomènech Les génomes des plantes que nous mangeons Lire la vidéo 11 octobre 2016 Yves Michaud Le Sens du Contrat Social Lire la vidéo 10 octobre 2017 Jacques Veron La montée des migrations environnementales est-elle une fatalité ? Lire la vidéo 10 avril 2019 Marc Augé À quoi sert l’ethnologie ? Anthropologie de la mondialisation Lire la vidéo 10 avril 2019 Marc Augé À quoi sert l’ethnologie ? Anthropologie de la mondialisation Lire la vidéo 18 avril 2019 Anne-Marie Lagrange À la Recherche de Nouveaux Mondes Lire la vidéo 13 septembre 2019 Fabien Calvo À l'horizon 2030, guérir du cancer trois patients sur quatre Lire la vidéo 13 septembre 2019 Fabien Calvo À l'horizon 2030, guérir du cancer trois patients sur quatre Lire la vidéo 12 juin 2019 Françoise Combes La Matière Noire Lire la vidéo 12 juin 2019 Françoise Combes La Matière Noire Lire la vidéo 6 mai 2018 Docteur Roxane Lestini Des Archées pour comprendre le cancer Lire la vidéo 6 mai 2019 Dr Roxane Lestini Des Archées pour comprendre le cancer Lire la vidéo 21 mai 2019 Brahim Lamine IRAP Relativité Générale déjà plus de 100 ans Lire la vidéo 21 mai 2019 Brahim Lamine IRAP Relativité Générale déjà plus de 100 ans Lire la vidéo Emmanuel Barbeau Mémoires normales, anormales, supranormales Lire la vidéo 7 octobre 2019 Emmanuel Barbeau Mémoires normales, anormales, supranormales Lire la vidéo Les Archives vidéos Ancre 1 Ancre 1 Conférences Captations

  • Présentation et historique | AssoSciences

    AssoSciences Midi-Pyrénées des conférences scientifiques et techniques pour la ville et la région Paul Costa président d'honneur fondateur d'AssoSciences AssoSciences Midi-Pyrénées est une association née à Toulouse en 2003. Elle a été inspirée de l'Université de Tous Les Savoirs à Paris et avait pour objet de proposer des mises au point sur des questionnements scientifiques et techniques contemporains, avec des acteurs de la meilleure qualité possible dans leur champ. Pour la constituer les sociétés savantes scientifiques et techniques de la Région ont été sollicitées. Certaines vivaient leur vie à l'écart des autres ; agir pour leur rapprochement fut accueilli très positivement par la plupart d'entre elles. Certes, des conférences scientifiques et techniques existaient déjà: l’Université Paul Sabatier par exemple, en tient sur son campus de Rangueil. Les associations de l'aéronautique aussi – Académie de l’Air et de l’Espace, AAAF. Il faut aussi citer deux organismes qui rassemblent l'essentiel des financements de la Ville et de la Région : la mission Agrobiosciences, liée à l’INRA, à l’extérieur de la Ville, tout comme le Centre Régional de la Culture Scientifique et Technique, "Sciences et Animation", qui organise sur le centre international de conférences de Météo-France des cycles de conférences-débats, « les découvrades ». Néanmoins il n'y avait pas, à part le GREP (Groupe de Recherche pour l’Éducation et la Prospective), groupement plutôt branché sur les débats de Sciences Sociales et Économiques, un "lieu" emblématique, qui offrît régulièrement, dans le centre de la ville, des programmes de connaissances scientifiques et techniques sur des enjeux de recherche et de développement. Depuis sa création plus d'une centaine de conférences se sont tenues, avec des thématiques récurrentes (l'énergie, la génétique, les nanosciences par exemple), ou des problématiques spécifiques. Chaque conférence est suivie de débats, entre l'orateur et le public. Entre 50 et 150 personnes sont régulièrement présentes, avec un noyau de fidèles, et des publics variables en nature, du lycéen de terminale ou de prépa scientifique et de l'étudiant en droit ou en IUFM en besoin de culture différente, au retraité souhaitant se tenir au courant, en passant par des personnes concernées par le champ traité. L'ensemble crée un fichier d’environ 500 personnes qui souhaitent être informées, fichier qui est progressivement abondé. Des ouvertures plus larges sur des villes voisines (vidéo-transmission, répétition de conférences lorsque l’orateur est une personnalité locale), avec l’appui du Conseil Régional sont dès cette année envisagées ; des contacts ont déjà été pris avec Cahors et Saint-Gaudens et d’autres villes sont envisagées Les Moyens L'association est en grande partie subventionnée par la Ville et marginalement par la Région. Depuis l'année dernière des cotisations de 40 euros sont sollicitées de ceux qui souhaitent être membres de l’association, mais l’adhésion n’a pas un caractère obligatoire, l’accès étant libre et gratuit. Ces moyens ne couvrent que les frais de transport et d'hébergement des conférenciers non Toulousains, en les limitant au maximum, et le tirage d'affiches et de tracts. Il est difficile de solliciter des mécènes qui de fait seraient partie prenante dans les paroles ; et même s'ils ne l'étaient pas les publics risqueraient de l'interpréter ainsi. Certains sujet -heureusement très peu- sont difficiles à gérer, le défaut de tolérance de quelques auditeurs fait malheureusement qu’ils réagissent à l’étiquette du conférencier. Il y a eu un problème pour la conférence qui décrivait le futur de l’Énergie Nucléaire, donnée par l’un des principaux responsables des programmes nucléaires civils au CEA -quelques uns, bien organisés, ont voulu la saboter-, et nous aurions certainement eu le même problème pour les OGM si nous ne nous étions pas adressé à un conférencier qui se tint à distance des points de vue extrêmes. Soulignons que les savoirs scientifiques et techniques sont à la source de débats, de connaissances discutées, d’apprentissages et de contestations, mais qu’il est difficile de faire partager l'idée qu’ils sont une culture, au même titre que la littérature, la musique ou le théâtre. Alors que l’on considère que, dans ces domaines, il n'y a jamais en nombre et en diversité trop de manifestations culturelles dans une ville ou une région, on devient vite suspicieux sur des redondances possibles s'il s'agit de sciences et de techniques. Ceci a conduit AssoSciences à éviter des sujets qui pourraient être traités par ailleurs. Nous avons toutefois fait quelques exceptions pour quelques conférences, dont on savait qu’elles seraient passionnantes et instructives. De même les salles et l’organisation choisie ne permettent pas le prolongement des discussions au-delà de certaines heures, et les pots consécutifs, où les échanges peuvent se prolonger, les réseaux se retrouver ou se mettre en place sont gérés de façon séparée et privée. Le choix de l’heure et du jour des conférences a donné lieu à quelques tâtonnements. Nous avons finalement décidé de les faire à 91h00, un compromis qui permet à la fois d’avoir des jeunes, des retraités et des actifs après leur journée de travail ; le mercredi a permis d’éviter d’autres séquences de conférences, mais nous passerons sans doute au jeudi qui paraît préférable. Il est certain que les réseaux des uns et des autres sont sollicités pour procéder au choix des sujets et des auteurs. Ils sont proposés par les membres du bureau, par des scientifiques locaux venant aux conférences. Celles-ci sont issues de l'actualité scientifique et technique, ou viennent de lectures ou d'autres voies : repérages à des colloques par exemple. Dans l'ensemble l'idée partagée est bien du sujet utile présenté par un orateur à la parole efficace. Une part de subjectivité est évidente, mais apparemment les choix et les évaluations sont assez consensuels quant à la qualité. Il n'a pas été procédé à des évaluations systématiques, ce qu'il faudra faire, mais les présences et les retours, y compris spontanés, sont satisfaisants. L'information À chaque conférence les présents s'ils le souhaitent inscrivent leur adresse mail , ou, à défaut leur adresse postale sur un bloc, et sont donc additionnés aux correspondants déjà enregistrés. Ceci correspond à ce jour à un fichier d’environ 500 personnes. La Dépêche, le grand journal régional, relaie très efficacement l'information. Des affiches et des tracts sont déposés à pas mal d'endroits stratégiques, à chaque conférence, avec y compris des relais municipaux, la Mairie étant partie prenante. Le problème est parfois celui du renouvellement du public. Un nouveau thème ou un nouveau sujet exige que l’on avertisse d’autres personnes potentiellement intéressées. C’est assez difficile sans moyens spécifiques et souvent il nous revient un « c’est dommage, je ne l’ai pas su ». L'évaluation Si l’on se fonde sur le nombre de participants, il est certain que certains annonces font mouche du fait de l’orateur et/ou du sujet. Si l’on se fonde sur les contributions au débat, certaines conférences, a priori plus confidentielles, ont connu de vifs échanges. La difficulté en fait est dans la définition d’un bon niveau, un accès pas trop vulgarisateur pour ne pas être concurrent avec d'autres moyens d'information tels que la presse, pas trop spécialisé pour ne pas décourager ; pas trop large pour éviter que l'intervention ne soit pas assez cadrée, pas trop pointu pour que l'auditeur puisse contextualiser clairement le propos. La deuxième difficulté est dans la maîtrise pédagogique que tous les scientifiques (entre autres) n'ont pas forcément. La structuration d'un discours pour intéresser n'est pas forcément la structure pertinente de l'écriture d'un article pour des pairs. Mais souvent ce sont les plus grands scientifiques qui maîtrisent le mieux la présentation de leur sujet à un public peu averti ! Par contre il est clair que la conférence débat a sûrement de beaux jours devant elle: elle représente sans doute "une sortie" comme un concert ou une pièce de théâtre, et en cela elle se rapproche de toutes les autres cultures. Elle est aussi pour les participants un lieu de fabrication de réseaux, d'amitiés, de statut partagé. Sans doute est-elle aussi une référence par rapport aux apprentissages traditionnels: certains y retrouvent "le cours" et ses discussions. Enfin, on peut penser que la distance entre conférencier et participant est une bonne distance : pas le rapport à la presse ou internet qui sont de fait déshumanisés, pas une familiarité totale qui peut parfois être un entre-soi plus qu'un lieu d'acquisition, d'interrogation ou de réflexion (voir certains "cafés"), mais la possibilité d'un échange avec un spécialiste, un expert. Tout cela à la condition expresse bien sûr que l'orateur ait été identifié clairement dans ses appartenances propres : chercheur CNRS, responsable technique ou industriel, ou président de l'association "antiX" s'il y a lieu. Les défis se trouvent sûrement à ces niveaux : faire entendre des paroles plurielles, fabriquer des lieux de références, éviter l’illusionnisme des discours généraux, brillants mais de peu de substance, tisser des lieux de confiance pérennes., surmonter les problèmes de moyens et de disponibilité afin d’établir des maillages et faire en sorte qu’associations, enseignants, chercheurs, entrepreneurs répercutent les informations sur leurs communautés et stimulent l’intérêt pour les savoirs scientifiques et techniques.

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    Infos 06/06/2020 Le télescope Spatial James Webb : une nouvelle fenêtre sur l'Univers Olivier Berné Conférence le 16 juin 2022 19h00 Salle du Sénéchal 17 rue de Rémusat 31000 Toulouse Read More ​ ​ ​ Read More

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    Infos 06/06/2020 Le télescope Spatial James Webb : une nouvelle fenêtre sur l'Univers Olivier Berné Conférence le 16 juin 2022 19h00 Salle du Sénéchal 17 rue de Rémusat 31000 Toulouse Read More ​ ​ ​ Read More

  • Le télescope Spatial James Webb : une nouvelle fenêtre sur l'Univers Olivier Berné

    < Back Le télescope Spatial James Webb : une nouvelle fenêtre sur l'Univers Olivier Berné AssoSciences Midi-Pyrénées 06/06/2020 Conférence le 16 juin 2022 19h00 Salle du Sénéchal 17 rue de Rémusat 31000 Toulouse Je suis astrophysicien au CNRS, à l’institut de recherche en astrophysique et planétologie de Toulouse. Mes travaux concernent la spectroscopie infrarouge des régions de formation stellaire et planétaire. Je suis responsable d’un des programme d’observation "Early Release Science" sur le télescope spatial James Webb dont le lancement est prévu fin 2021. J'ai co-fondé avec Tamara Ben Ari le collectif Labos 1point5 qui rassemble plusieurs centaines de scientifiques en France et dont l’objectif est de réduire l’empreinte environnementale de la recherche. ​ Un vaisseau spatial doté miroir de plus de 6 m de diamètre plaqué or, 4 instruments super-performants, 5 écrans thermiques déroulables d’une surface de plus de 200 m2, le tout replié comme un origami puis placé dans la coiffe d'une fusée Ariane 5, et enfin envoyé sur une orbite située au déjà de celle de la Lune pour y être déployé à l’aide de plus de 130 mécanismes. Il ne s’agit pas de science fiction mais de la mission du télescope spatial James Webb, qui se déroule avec succès depuis le 25 décembre 2021. ​ Mais quels sont les objectifs de cette mission de la démesure ? ​ Pourquoi construire un projet aussi fou et couteux au moment où d’autres enjeux nous semblent plus urgents ? Je tenterai d’illustrer dans cette présentation ce qui fait de la mission James Webb une mission pour l’humanité, et en quoi il importe de s’intéresser à nos origines cosmiques à l’heure où notre destin est incertain. Previous Next

  • 404 | AssoSciences

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